Список форумов пїЅпїЅпїЅпїЅпїЅпїЅпїЅ пїЅ пїЅпїЅ пїЅпїЅпїЅпїЅпїЅпїЅпїЅ пїЅ пїЅпїЅ

 
 FAQFAQ   ПоискПоиск   ПользователиПользователи   ГруппыГруппы   РегистрацияРегистрация 
 ПрофильПрофиль   Войти и проверить личные сообщенияВойти и проверить личные сообщения   ВходВход 

Start Home_in_France Learning_in_France Job_in_France Health_in_France Photogallery Links
Портрет террориста

 
Начать новую тему   Ответить на тему    Список форумов пїЅпїЅпїЅпїЅпїЅпїЅпїЅ пїЅ пїЅпїЅ -> Что интересного происходит во Франции и в Европе?
Предыдущая тема :: Следующая тема  
Автор Сообщение
Zabougornov
Добрый Администратор (иногда)


Зарегистрирован: 06.03.2005
Сообщения: 12000
Откуда: Обер-группен-доцент, ст. руководитель группы скоростных свингеров, он же Забашлевич Оцаат Поэлевич

СообщениеДобавлено: Суббота, 24 Декабрь 2016, 00:35:05    Заголовок сообщения: Портрет террориста Ответить с цитатой

http://www.lemonde.fr/attentat-berlin/article/2016/12/22/attentat-de-berlin-anis-amri-petit-delinquant-tunisien-devenu-djihadiste_5053146_5051632.html
Attentat de Berlin : Anis Amri, petit délinquant tunisien devenu djihadiste

L’homme de 24 ans avait quitté la Tunisie en 2011 pour rejoindre l’Italie, via Lampedusa, et l’Allemagne, où les services de renseignement ont perdu sa trace.

LE MONDE | 22.12.2016 à 20h58 • Mis à jour le 23.12.2016 à 18h29 | Par Mohamed Haddad et Cécile Boutelet (Berlin, correspondance)
Abonnez vous à partir de 1 €
Réagir
Ajouter

Partager Tweeter
Anis Amri, suspect numéro un de l’attentat de Berlin et activement recherché pendant près de deux jours, a été abattu à Milan dans la nuit du jeudi 22 au vendredi 23 décembre, après un contrôle d’identité. Tout juste âgé de 24 ans, il était devenu l’un des terroristes les plus dangereux du continent.

Jeudi, le ministre de l’intérieur allemand, Thomas de Maizière, a annoncé que ses empreintes digitales avaient été retrouvées dans l’habitacle du camion lancé dans la foule, qui a causé la mort de douze personnes et en a blessé quarante-huit autres lundi. Son histoire est celle de la radicalisation progressive d’un jeune migrant à travers l’Europe, passé par la prison en Italie, et qui devait être expulsé d’Allemagne.

Lire aussi : Berlin : le Tunisien recherché est bien l’auteur de l’attentat

Anis Amri a quitté la Tunisie en 2011 pour rejoindre l’Italie, dans la foulée des troubles qui agitent le pays au lendemain du changement de régime, après la chute de Zine El-Abidine Ben Ali. Sa famille, restée en Tunisie, ne l’a plus revu depuis, mais il donnait des nouvelles par téléphone. Dix jours avant l’attentat, Anis Amri avait appelé son frère Walid pour l’informer qu’il avait l’intention de rentrer pour les vacances de fin d’année et qu’il voulait se lancer dans un projet économique dans sa ville.

Le principal suspect de l’attentat de Berlin n’était pas connu pour activisme islamiste à Oueslatia, ville de quelque huit mille habitants, dont il est originaire, situé à 40 km à l’ouest de la « quatrième ville sainte de l’islam », Kairouan.
Condamné à plusieurs reprises

Anis Amri avait été condamné à un an de prison en 2008 pour consommation de cannabis, une sentence assez courante en Tunisie. A en croire son frère Walid – que Mohamed Haddad, contributeur pour Le Monde Afrique, a rencontré –, il est à nouveau condamné à deux ans de prison en 2011 avec quatre comparses pour le vol d’un véhicule dont la revente à Gabès – 200 km au sud de Kairouan –, leur rapportera 6 000 dinars, soit moins de 3 000 euros. Le jugement, confirmé en appel, fut prononcé par contumace, car Anis Amri avait entre-temps disparu, rejoignant clandestinement l’Italie. Selon l’agence de presse italienne ANSA, le jeune homme a en effet pris un de ces bateaux clandestins chargés de migrants qui traversent la Méditerranée au péril de leur vie.

image: http://s2.lemde.fr/image/2016/12/22/534x0/5053145_6_72ad_la-famille-d-anis-amri-dans-sa-ville_f94b3afff58fa075e338ba1b83c11712.jpg
La famille d’Anis Amri dans sa ville d’Oueslatia, en Tunisie, le 22 décembre 2016.

Il débarque alors sur l’île de Lampedusa et s’inscrit à l’école. Mais le jeune homme dérape, devient violent et agressif, rapporte la presse italienne. Il est alors condamné à quatre ans de prison par le tribunal de Palerme pour l’incendie d’une école et est incarcéré. Selon un voisin de la famille de M. Amri, il s’agissait d’un incendie involontaire provoqué par un mégot sur un matelas. A sa libération, en 2015, il est placé en centre de rétention pour être expulsé, mais faute de papiers valables, car non reconnus par les autorités tunisiennes, il est remis en liberté.

C’est le même scénario qui se produit un an plus tard en Allemagne. Après que le jeune homme, qui a rejoint le pays en juillet 2015, a vu sa demande d’asile rejetée en juin 2016, il n’a pas pu être reconduit à la frontière tunisienne faute de documents valables. Là encore Tunis a refusé pendant des mois de reconnaître l’homme comme un de ses ressortissants. Placé en détention provisoire, Anis Amri a finalement été remis en liberté. Quand les papiers permettant une expulsion sont adressés aux autorités allemandes, il est trop tard : les documents sont arrivés… mercredi 21 décembre, soit deux jours après l’attentat.
En contact avec les milieux islamistes

En Allemagne, Anis Amri, vraisemblablement déjà radicalisé en prison en Italie, entre en contact avec les milieux islamistes implantés dans la région de Rhénanie-du-Nord-Westphalie. Selon les médias allemands Süddeutsche Zeitung, NDR et WDR, il a rencontré Abu Walaa, incarcéré en Allemagne au mois de novembre et considéré comme un pilier de la mouvance salafiste allemande. Très mobile, Anis Amri se déplace entre la Rhénanie-du-Nord-Westphalie et Berlin, où il est repéré par la police comme revendeur de drogue dans le parc de Görlitz, à Kreuzberg, a fait savoir le procureur général.

Lire aussi : Berlin : la traque du suspect révèle les failles des autorités allemandes

Il fait alors l’objet d’une enquête pour soupçon de préparation d’un « grave acte menaçant la sûreté de l’Etat »… Une suspicion non confirmée après six mois de surveillance, qui est suspendue au mois de septembre. En octobre, la police perd sa trace. Selon Der Spiegel, les services antiterroristes disposaient d’éléments de preuve d’après lesquels Anis Amri se serait proposé comme kamikaze pour perpétrer un attentat terroriste. Certains experts estiment que l’indice de son portefeuille laissé dans le camion pourrait être la signature d’un aspirant au djihad désireux d’être reconnu comme tel.

La raison pour laquelle, malgré un tel parcours, la police allemande n’a pas pu arrêter à temps un homme aussi dangereux occupera longtemps les autorités de sécurité et la politique allemandes. A Oueslatia, s’adressant aux journalistes, son frère Abdelkader a lancé un vibrant appel à Anis pour qu’il « se rende aux autorités » pour que la « vérité éclate » et « soulager [sa] famille ». « S’il est coupable, a poursuivi Abdelkader Amri, qu’il soit condamné, même si cela ne nous honorera pas. Mais je suis convaincu qu’il n’a pas commis ce dont on l’accuse. »

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/attentat-berlin/article/2016/12/22/attentat-de-berlin-anis-amri-petit-delinquant-tunisien-devenu-djihadiste_5053146_5051632.html#3xRzAi2Scf9Oy3QI.99
_________________
A la guerre comme a la guerre или вторая редакция Забугорнова
Вернуться к началу
Посмотреть профиль Отправить личное сообщение Посетить сайт автора
Zabougornov
Добрый Администратор (иногда)


Зарегистрирован: 06.03.2005
Сообщения: 12000
Откуда: Обер-группен-доцент, ст. руководитель группы скоростных свингеров, он же Забашлевич Оцаат Поэлевич

СообщениеДобавлено: Суббота, 24 Декабрь 2016, 00:46:51    Заголовок сообщения: Ответить с цитатой

http://www.lemonde.fr/attentat-berlin/article/2016/12/22/berlin-la-traque-du-suspect-revele-les-failles-des-autorites-allemandes_5052691_5051632.html
Berlin : la traque du suspect révèle les failles des autorités allemandes

Repéré comme islamiste dangereux, l’auteur présumé de l’attaque de lundi avait vu sa demande d’asile rejetée en juin. Il avait pourtant pu rester dans le pays.

LE MONDE | 22.12.2016 à 06h36 • Mis à jour le 22.12.2016 à 15h21 | Par Thomas Wieder (Berlin, correspondant)
Abonnez vous à partir de 1 €
Réagir
Ajouter

Partager (896) Tweeter
Un policier devant le marché de Noël à Berlin, en Allemagne.
Trois jours après l’attentat commis à Berlin, lundi 19 décembre, les autorités allemandes ne pouvaient imaginer scénario plus embarrassant. D’abord, parce qu’elles n’ont toujours pas arrêté l’homme dont un document d’identité a été retrouvé dans le camion qui a tué douze personnes et en a blessé une cinquantaine, sur l’un des marchés de Noël les plus fréquentés de la ville. Ensuite, parce que cet individu leur était connu depuis des mois comme l’un des islamistes les plus dangereux du pays.

C’est dans l’après-midi de mercredi que les Allemands ont découvert l’identité du fugitif. Il était un peu plus de 18 heures quand l’Office fédéral de police criminelle a diffusé l’avis de recherche, étendu à toute l’Europe. Barré du mot « Terrorisme », il affiche deux photos, accompagnées de ces quelques mots de description : « Nom : Amri. Prénom : Anis. Age : 24 ans. Pays de naissance : Tunisie. Taille : 178 cm. Poids : environ 75 kilos. Yeux : marron. Cheveux : noirs. » Au-dessus, en lettres rouges, une précision : « Attention, la personne peut être dangereuse et armée. » En bas de l’affiche, en rouge sur fond jaune : « Récompense jusqu’à 100 000 euros. »
Six identités différentes

Selon les autorités, c’est en juin 2015 que le jeune homme serait arrivé en Allemagne. Qualifié par celles-ci de « très mobile », il aurait séjourné dans le Bade-Wurtemberg, en Rhénanie-du-Nord - Westphalie, puis, enfin, à Berlin, où il aurait passé l’essentiel de son temps depuis février. Au cours de ces dix-sept mois, il aurait également utilisé six identités différentes. Pour les uns, il s’appelait Ahmad Zaghloul, pour d’autres, Mohamed Hassa. Tantôt il était égyptien, tantôt il se disait libanais. Certains jours, il était né en 1992 ; le plus souvent, il se donnait trois ans de moins…

Lire aussi : Après l’attentat de Berlin, Angela Merkel affronte les critiques

D’après plusieurs médias allemands, Anis Amri figurait, au moins depuis le mois de mars, sur une liste de quelque 550 individus considérés comme dangereux par les autorités. Selon la Süddeutsche Zeitung, son intention de commettre un attentat était même avérée. Dans son édition de jeudi matin, le quotidien de Munich cite une source proche de l’enquête, qui résume le personnage : « Nous avons beaucoup de gens dangereux, mais des comme lui, nous en avons très peu. »

Sur la scène islamiste allemande, le jeune homme aurait été en relation avec un certain Ahmad Abdelaziz A., plus connu sous le nom d’Abu Wala, un prédicateur salafiste lié à la mosquée de Hildesheim (Basse-Saxe) et très actif sur les réseaux sociaux. Soupçonné de recruter des candidats au djihad désireux de rejoindre les rangs de l’organisation Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak, il a été arrêté début novembre. D’après plusieurs sources, deux de ses proches auraient largement aidé Anis Amri durant son séjour outre-Rhin, lui fournissant à la fois planques et faux papiers.
Procès pour incompétence

Au vu de ces révélations, qui font suite à la libération d’un premier suspect pakistanais mis finalement hors de cause, on imagine mal comment les principaux responsables de la sécurité du pays pourront échapper à un procès pour incompétence. Ce procès, la presse allemande a d’ailleurs commencé à l’instruire, que ce soit pour s’étonner qu’une « vieille connaissance » comme Amri ait pu si longtemps vivre dans le pays sans être inquiété (Die Zeit) ou pour souligner les nombreux « ratés » qui ont conduit à l’attentat de lundi, à l’instar du quotidien populaire Bild, qui a choisi d’en dresser la liste à la « une » de son édition de jeudi matin.

Lire aussi : Attentat de Berlin : avis de recherche européen émis contre un suspect tunisien

Or, ces « ratés » ne sont pas seulement ceux de la police allemande. Même s’il n’avait pas été un dangereux islamiste, Anis Amri n’avait en effet rien à faire, lundi soir, à Berlin, et ce pour une raison toute simple : sa demande d’asile a été rejetée en juin. Comment expliquer, dès lors, qu’il soit resté depuis cette date en Allemagne ? A cette question, Ralf Jäger, le ministre de l’intérieur de Rhénanie-du-Nord - Westphalie, a répondu, mercredi, lors d’une conférence de presse. « La procédure d’établissement d’un document tenant lieu de passeport » tunisien pour permettre son retour dans son pays a été engagée en août, « mais la Tunisie a discuté le fait que cette personne soit un de ses ressortissants, et les documents nécessaires n’ont pendant longtemps pas été établis », a-t-il expliqué, ajoutant que le document en question n’était arrivé en Allemagne que… mercredi.

Sans doute justifié sur le plan légal, un tel argument risque d’être politiquement explosif. Depuis plusieurs mois, Angela Merkel s’est en effet personnellement engagée à accélérer les reconduites à la frontière des demandeurs d’asile déboutés. S’il apparaît aujourd’hui que l’un des responsables de l’attentat le plus meurtrier revendiqué par l’EI en Allemagne n’a pu être expulsé pour des raisons de procédure, c’est la crédibilité même du volontarisme de la chancelière qui risque d’être remise en cause.
Politiquement inaudible

Reste enfin un dernier élément. Mardi soir, plusieurs médias italiens ont affirmé que, avant d’arriver en Allemagne, le jeune homme avait déjà purgé quatre ans de prison en Italie pour un incendie dans une école. Selon ces médias, il serait arrivé en Italie en 2011 et se serait lui-même déclaré comme mineur non accompagné.

Comme les précédentes, cette révélation peut se révéler embarrassante pour les autorités. Elle fait en effet directement écho à une affaire qui, quelques jours avant l’attentat de Berlin, suscitait un début de polémique en Allemagne : l’histoire d’un réfugié afghan accusé du viol et du meurtre d’une étudiante à Fribourg-en-Brisgau (Bade-Wurtemberg) et dont on a appris, jeudi 15 décembre, qu’il avait auparavant été condamné à de la prison, en Grèce, pour avoir agressé une autre étudiante sur l’île de Corfou.

Lire aussi : Barbara Kunz : « L’Allemagne ne se voit pas en guerre contre le terrorisme »

Pour se défendre, le ministre allemand de l’intérieur, Thomas de Maizière, a rejeté la faute sur les autorités grecques, les accusant de ne pas avoir signalé les antécédents judiciaires du jeune homme aux banques de données européennes recensant les demandeurs d’asile. Là encore, l’explication était peut-être juridiquement recevable. Mais, une semaine plus tard, elle devient politiquement inaudible. Quels que soient leurs arguments, les autorités allemandes risquent en effet d’avoir bien du mal à justifier, face à une opinion publique qui doute de plus en plus de leur clairvoyance, l’absence d’un contrôle plus strict du million de réfugiés qui est arrivé dans le pays depuis 2015.
_________________
A la guerre comme a la guerre или вторая редакция Забугорнова


Последний раз редактировалось: Zabougornov (Суббота, 24 Декабрь 2016, 00:55:51), всего редактировалось 1 раз
Вернуться к началу
Посмотреть профиль Отправить личное сообщение Посетить сайт автора
Zabougornov
Добрый Администратор (иногда)


Зарегистрирован: 06.03.2005
Сообщения: 12000
Откуда: Обер-группен-доцент, ст. руководитель группы скоростных свингеров, он же Забашлевич Оцаат Поэлевич

СообщениеДобавлено: Суббота, 24 Декабрь 2016, 00:54:44    Заголовок сообщения: Ответить с цитатой

Цитата:
D’après plusieurs médias allemands, Anis Amri figurait, au moins depuis le mois de mars, sur une liste de quelque 550 individus considérés comme dangereux par les autorités. Selon la Süddeutsche Zeitung, son intention de commettre un attentat était même avérée. Dans son édition de jeudi matin, le quotidien de Munich cite une source proche de l’enquête, qui résume le personnage : « Nous avons beaucoup de gens dangereux, mais des comme lui, nous en avons très peu. »
Вот после такого терракта министр внутренних дел, который всё знал и ничего не сделал чтобы остановить террориста, должен (по-хорошему) застрелиться или (малодушно) уйти в отставку - на его совести погибшие люди.
_________________
A la guerre comme a la guerre или вторая редакция Забугорнова
Вернуться к началу
Посмотреть профиль Отправить личное сообщение Посетить сайт автора
Показать сообщения:   
Начать новую тему   Ответить на тему    Список форумов пїЅпїЅпїЅпїЅпїЅпїЅпїЅ пїЅ пїЅпїЅ -> Что интересного происходит во Франции и в Европе? Часовой пояс: GMT + 1
Страница 1 из 1

 
Перейти:  
Вы не можете начинать темы
Вы не можете отвечать на сообщения
Вы не можете редактировать свои сообщения
Вы не можете удалять свои сообщения
Вы не можете голосовать в опросах

Our friends Maxime-and-Co Двуязычный сайт для двуязычных семей Arbinada  Всё о русскоязычной Европе  Ницца для вас
У Додо. Сайт о Франции, музыке, искусстве  Вся русская Канада на Spravka.ca  Triimph Сайт бесплатного русского телевидения и радио, политическая аналитика multilingual online transliteration

 

??????? ???????? ??????? Русская Реклама Top List Находится в каталоге Апорт Russian America Top. Рейтинг ресурсов Русской Америки.


Powered by phpBB © 2001, 2005 phpBB Group